Histoire
Il y a 15 ans, mon frère est allé faire du parachute dans le coin de Québec. Après quelques sauts, il était vraiment passionné, c’est alors qu’il s’est acheté le logo du club sous forme de collant. Il l’a affiché fièrement sur sa voiture. Lors de nos voyages ensemble, il arrivait souvent qu’il remarque le même décalque sur une autre voiture et qu’il s’empresse d’aller lui parler. Des fois, il pouvais jaser 15-20 minutes avec cet étranger et la majorité du temps, ça finissait par un échange de coordonnées pour un futur saut.
J’ai immédiatement vu la force de cet item pour relier les gens, c’est un accessoire idéal pour entamer une conversation avec un inconnue sur un sujet commun.
Moi qui pratique plusieurs sports que sont plus plaisants à plusieurs; plongée, escalade, moto, … J’ai immédiatement eu l’idée de commercialiser ce concept.
Les premières étapes ont étés de trouver un nom, de faire un site Web, une boutique enligne, et d’engager un graphiste pour faire les designs, rédiger les textes, …
Nous rêvions d’une communauté de VOZTAGGEURS qui afficheraient fièrement leur passion sous forme de collants sur une voiture, un bateau, une moto, une planche â neige, un laptop, un t-shirt …
Nous rêvions de témoignages de rencontres d’amours, d’amitiés, de liens qui se sont créés grâce aux VOZTAGs
Une fois le tout terminé, nous avons acheté une imprimante pour faire des collants de qualité, nous avons payés pour la promotion, et nous avons commencé à vendre des collants et les designs via une boutique de marchandise en ligne, …
Nous avons vendu des items partout dans le monde, mais nous avons toujours eu un problème avec le prix.
Mais le projet n’a pas levé. Le frais d’expéditions étaient trop élevés, la production et le coût de main-d’œuvre à rendu le prix du produit trop élevé. Et de faire faire la production dans un autre pays vas à l’encontre de nos valeurs.
Nous avons laissé le projet dormir pendant quelques années jusqu’à ce que le concept de communauté et d’exclusivité des NFT dans le Web 3.0 a fait réagir nos fondateurs qui ont reparti la machine.